Les collections labellisées en 2019

Collections nationales: Aeonium, taxons botaniques -Asters – Disa -Gingko biloba des zones tempérées et humides d’altitude -Iris Rhizomateux hors iris barbus -Sarracenia
Collections agrées: Acacia, Eucalyptus, Melaleuca Podocarpus,Jardin Jean-Marie Delavay,Hémérocalles botaniques & cultivars, bétulacées.
 

Aeonium, taxons botaniques: Collection Nationale

Hubert Debbasch, La Ferme Botanique Kerveat, 29810, Ploumoguer, Bretagne
06.62.35.52.15. –  hdebbasch@gmail.com
Fondée en 2018 mais s’appuyant sur des recherches et cultures entreprises depuis près d’une décennie, la ferme botanique de Kerveat produit des aeonium. Cette succulente est probablement l’une des plantes aux formes les plus parfaites : ses rosettes ont une géométrie incomparable qui s’associe harmonieusement avec le caractère naturel et sauvage du végétal. Installée à la pointe du Finistère, la ferme botanique produit l’intégralité des 45 espèces botaniques d’aeonium ainsi qu’un grand nombre d’hybrides, rassemblant ainsi l’une des collections les plus riches au monde de cette plante.La ferme botanique de Kerveat commercialise ces plantes par son site internet et par la participation à quelques-unes des plus grandes fêtes des plantes. Hubert Debbasch, le fondateur, poursuit inlassablement l’étude des aeonium par son travail avec des scientifiques mais aussi par ses missions d’exploration dans tous les pays où poussent ces plantes: les archipels des Canaries, de Madère et du Cap Vert, le Maroc ainsi que sept pays d’Afrique de l’Est et de la péninsule arabique.
Les aeonium se développent volontiers en pleine terre dans les régions françaises les plus tempérées. Ailleurs, ils sont cultivés en serre ou en véranda et leur entretien est particulièrement facile.

Asters: collection nationale                                                                              

Françoise Lemaitre, 2 sentier de maillant route, 77166 Grisy suisines, Ile-de-France
01.60.62.79.98 – francois.lemaitre.fl@gmail.com
Cette collection se compose de près de   500     taxons, visibles en Seine-et-Marne près de Brie-Comte-Robert. C’est le jardin de Monsieur LEMAITRE François et de sa compagne Mme THOMAS Sabrina qui accueille ces asters.
Ce jardin est aussi le jardin d’essai de la Pépinière Passion Vivaces gérée par Monsieur Lemaitre. Il permet d’observer les plantes en situation, servant de pieds mères pour la multiplication. On peut le visiter lors de journées portes ouvertes ou sur rendez-vous pour des visites de groupes. Ce jardin, composé de trois thématiques, s’étend sur 3000 m². À l’avant de la maison, le jardin des tons chauds met en scène des plantes dans les tons jaunes, oranges et rouges. À l’arrière de la maison, le jardin romantique regroupe des plantes roses, mauves, blanches et bleues. Et enfin, dans la partie-basse, le jardin d’arrière-saison présente la majorité des asters, associés à des graminées.
Passionné depuis son plus jeune âge par le monde végétal dans son ensemble, Monsieur Lemaitre s’est orienté vers les plantes vivaces car elles permettent, sur une surface réduite, de rassembler une grande diversité de plantes et de créer des ambiances multiples. Le jardin dans son ensemble regroupe plus de 3000 taxons différents avec de multiples collections, dont la plus importante est la collection d’asters. Nul jardin ne saurait se passer des asters, reines des fleurs d’automne. Ce genre très populaire regroupe des plantes de grande valeur ornementale nécessitant peu de soins. Lorsque la floraison a lieu, en été ou en automne (pour lamajorité des variétés) la plante se couvre d’une profusion de fleurs semblables à des marguerites. Selon les espèces, le feuillage, la taille des fleurs, la hauteur et les coloris varient énormément. La diversité de leur port et la palette des couleurs dans toutes les nuances de blanc, rose, rouge, bleu, mauve, violet et même quelques jaunes nous permet de les utiliser en massifs, plates-bandes, rocailles et couvre-sol pour créer de splendides associations. Très utilisés en art floral, ils fournissent d’excellentes fleurs pour bouquets frais. La majorité se cultive en sol ordinaire, au soleil, mais on en trouve pour l’ombre et la mi-ombre, certains résistent très bien à la sécheresse, alors que d’autres préfèrent un sol frais. F. Lemaitre aime à dire : « Vous l’avez compris, nous les adorons, et nous espérons vous transmettre notre passion pour ce genre si fantastique. Notre collection regroupe aussi bien des espèces connues du grand public, comptant de nombreux cultivars appréciés, que des espèces.

Disa: collection nationale

Colette Barthelemy, La canopée, 827 Route de Quilliou, 29470 Plougastel Daoulas, Bretagne
02.98.04.27.86. –  contact@lacanopee.com
Au sein de la collection très diversifiée de la pépinière d’orchidées La Canopée, les Disas occupent une place toute particulière. Ce genre peu cultivé en raison de ses spécificités a séduit Colette et Dominique Barthelemy dès la fin des années 1990, suite à une rencontre avec un amateur passionné de la région Brestoise. Le climat breton, par sa douceur, est en effet très propice à la culture de ces orchidées pour la plupart originaires d’Afrique du sud.
Au fil des années, la collection de Disas s’est étendue, et de nombreux hybrides créés par La Canopée ont vu le jour. En 2019, cette collection s’est vue attribuer le label collection nationale CCVS, belle reconnaissance du travail réalisé sur ce genre pendant presque 20 ans.Par son travail de pédagogie concernant la culture des Disas, La Canopée contribue à rendre ce genre de plus en plus populaire auprès des amateurs d’orchidées.

Gingko biloba des zones tempérées et humides d’altitude: Collection nationale.

Raphael Benedetti, Jardin de Pimperelle, 75 chemin du petit courbois,7440 Rhone-Alpes. –  04.75.58.00.27
Le Gingko biloba est un arbre très symbolique du fait de ses caractéristiques de longévité exceptionnelle (réputé immortel car il échappe aux actions anthropiques) et de ses propriétés en phytothérapie (molécule  la plus vendue au monde en phytothérapie)Pour  ces raisons, le Gingko est le symbole de la bonne santé du jardin, de la sagesse et c’est aussi un arbre très résistant à la pollution des villes. C’est en cela qu’il devient l’emblème de la lutte pour le respect de  l’environnement.
Pendant 12 ans à Nancy (1988 à 2000), j’ai fait mes armes en tant que créateur de jardin et de mon premier Gingko (biloba ‘Pendula’ date de 1996) en ayant vu l’exemplaire incroyable de l’ancien jardin botanique de Nancy. Ces 12 années m’ont permis d’élaborer un autre jardin en Ardèche que j’ai créé en 2001 où le Gingko a pris une place de choix. En effet, il est présent dans chaque massif du jardin et je me suis fait la réflexion qu’il serait intéressant de le diversifier. Aujourd’hui, il y en a 120 répartis en 56 variétés.
Le jardin fait un hectare et c’est pourquoi je me suis orienté vers des Gingko car ils prennent peu de place : des sujets colonnaires, buissonnants, pleureurs, nains ou issus de balais de sorcières. Imaginons le jardin en l’an 3000… Et notre environnement !

Iris Rhizomateux hors iris barbus: Collection national

Jean-Claude Jacob, Les iris de la baie tromeal, 29250. Saint pol de leon, Bretagne
02.98.69.02.79. –  1215delabaie@orange.fr
« C’est en allant visiter des jardins de roses (ma première passion) que je suis tombé sur des collections d’iris et je me suis ainsi pris au jeu. J’ai commencé par les iris barbus, mais j’ai rapidement voulu élargir la collection à toutes les espèces d’iris rhizomateux susceptibles de pousser dans mon jardin. J’ai commencé par les iris siberians, puis par les iris spuria en reprenant les collections introduites en France par Gérard Madoré. J’ai continué avec les iris de Californie (Illustration 1) à partir de graines obtenues auprès de la SPCNI (Society for Pacific Coast Native Iris), puis avec les crossiris  tels que les iris japonica, confusa et autres. Ensuite sont venus les iris d’eau, issus de I. pseudacorus ou de I. versicolor, et leurs hybrides. Par la suite les iris ensatas, aux magnifiques fleurs plates. Je teste aussi des croisements rares, qui pourraient difficilement exister dans la nature, tels que des croisements entre iris de Californie et iris de Sibérie (Cal-sibe), qui cumulent les avantages des deux, ou encore les iris pseudatas hybrides entre I. pseudacorus et I. ensata.
Le climat du Finistère, un terrain en pente exposé au sud, au sol légèrement acide,  me permet de faire pousser sur le même terrain, en partie haute, des iris barbus et des iris de Californie qui apprécient les sols légers, bien drainés. En partie intermédiaire du terrain, je place les iris spuria, et les crossiris, puis en partie basse, les iris siberian, les iris ensata, pour terminer par les iris d’eau (Illustration 2). Il suffit d’ajouter un peu de chaux dans le sol, pour les iris barbus et les spuria, espèces qui préfèrent un terrain légèrement calcaire.  En définitive, le climat du littoral breton permet de cultiver une très grande quantité d’espèces.

Sarracenia: Collection nationale

Alexandre Ribault, 16 rue du collège, 22150 Ploeuc l’hermitage, Bretagne
06.89.88.85.97. –   carnibreizh1@gmail.com
Les plantes carnivores ont de tout temps fasciné les amateurs. Il y a d’innombrables récits fantastiques qui ont forgé une culture populaire autour de ce type de plante. Cela va de l‘arbre anthropomorphe du moyen âge, jusqu’à nos jours avec d’étrange créature tel que Audrey dans le film « La petite boutique des horreurs »
« Dès mon plus jeune âge, j’ai été bercé par le monde du végétal et cette culture autour des plantes. C’est tout naturellement qu’il y a une vingtaine d’année je me suis tourné vers elle. Au début c’est le côté « contre nature » de ce type de végétaux qui m’a intéressé. Mais plus les années passaient et plus je me suis pris d’affection pour un genre si particulier. Ce
J’ai commencé tout simplement avec un seul Sarracenia et aujourd’hui la collection compte plus de 1000 hybrides et 2000 taxons botaniques.
Passé le fait que ce sont des plantes carnivores, j’ai pu m’intéresser de plus près au genre en lui-même, ainsi qu’à son mode de culture et de pollinisation.
Ce sont vraiment des plantes fascinantes qui, in situ, poussent dans des milieux et des conditions très variées.

En collection, je m’efforce au maximum de tenir compte de ces données afin d’avoir des plantes saines et aux colorations vraiment remarquables.
À l’avenir, nous souhaitons continuer de développer notre collection de Sarracenia, de renforcer d’avantage nos connaissances et la mise en œuvre des conditions réelles de culture afin de coller au plus près des conditions naturelles de chaque genre ».

Collections agréées d’Acacia, d’Eucalyptus, de Melaleuca et de Podocarpus

Jan Vos Willem, Château Perous-Route de Nïme, 20800 Saint-Gilles, Languedox Rousillon
04.75.58.00.27. –  chateauperouse@gmail.com
Le concept du parc botanique de Château Pérouse est né en 2005. Après de nombreux voyages et contacts, nous avons pris la décision, sur les 62 hectares du domaine, comprenant des infrastructures touristiques et résidentielles, de recréer les 5 grands biomes des régions méditerranéennes de la planète ; Australie, Afrique du Sud, Chili, Californie et divers pays du pourtour méditerranéen. Nous avons sélectionné comme référence des paysages et végétations de divers parcs nationaux.
Nous sommes installés entre Nîmes et Arles sur le plateau des Costières, tout proche de la Camargue et à 30 km de la Méditerranée. Le sol est argileux-caillouteux. Le climat est venteux mais très doux ; il gèle très rarement et sur de très courtes durées. L’eau est présente en abondance via un canal dérivatif du Rhône, qui alimente l’ensemble des plantations.
Le parti pris conceptuel est de recréer des paysages exclusivement botaniques pour chaque quartier résidentiel, mais aussi autour de l’hôtel et le long du parcours de golf. Chaque construction, voies de circulation et toutes les plantes sont aujourd’hui dessinés sur le plan du domaine. Ceci est consultable sur le site web de Château Pérouse.
En 10 ans, une base de données a été constituée. Elle compile les éléments morphologiques, traits biologiques et culturaux de 61.000 plantes des régions cibles. Une bibliothèque spécialisée de 300 ouvrages a été constituée.
Des gros efforts ont été consentis pour automatiser le suivi des collections. Des liens directs avec les grandes bases taxonomiques mondiales ont été établies ; IPNI et GBIF
En août 2019, 6.000 taxons sont cultivés, tous géolocalisés, sur un total programmé de 17.000 selon les plans de plantations actuels. A terme, ce sont donc des centaines de milliers de plantes rares et de grande taille qu’il faudra produire.
A ce jour, plusieurs espaces, couvrant 4 hectares, permettent d’observer l’acclima-tation de 3.800 espèces en conteneur et 2.200 taxons en pleine terre.
Des serres, ombrières, ainsi qu’un laboratoire avec chambre de culture complètent les installations.
Notre équipe est actuellement composée d’un chef de projet, de 2 chargés d’étude, de 6 jardiniers-botanistes ainsi que des jardiniers. Elle sera à terme d’une quarantaine de personnes.
La masse d’information sur les végétaux est gérée par nos propres logiciels ce qui permet d’ajouter des fonctionnalités au besoin comme la création automatique de pages HTML par taxon pour l’information du grand public et la mise à jour des inventaires. Le suivi des cultures (semis, repiquage, plantation, floraison, fructification) est opéré en continu.
Depuis 2010, en complément des tests et des productions effectués à Saint-Gilles, des contrats de culture avec des pépiniéristes spécialisés ont été établis. En même temps nous avons travaillé sur notre capacité à maintenir et multiplier nos collections. De plus nous nous sommes spécialisés dans la germination de graines réputées difficiles, récalcitrantes ou des taxons très peu communs. En 2019, plus de 3.000 espèces ont été semées et testées. On observe et analyse l’effet du microclimat sur des espèces
Depuis le printemps 2019, dans le cadre de nos agréments auprès du CCVS et de JBF(Jardins botaniques de France et des pays francophones), nous avons étoffé nos actions par la création d’ateliers pédagogiques spécifiques pour chaque collection. Nous travaillons également sur l’information pour les visiteurs sur chaque plante et la constitution d’une base iconographique de chaque taxon. Tout ceci est disponible sur notre site internet.
A ce jour, quatre collections ont fait l’objet d’un agrément par le conseil scientifique du CCVS.
Collection Acacia : Ce vaste genre est indigène en Australie, Afrique du Sud, Asie et les Amériques. En 2012 nous avons débuté nos tests avec Acacia dealbata ‘Gaulois’ et l’Acacia decurrens ‘Rustica’. Nous avons positionné pour l’instant notre collection d’Acacia au niveau de la tribu des Acacieae, représentée par plus de 1.600 taxons. Sur les 389 taxons que nous estimons pouvoir cultiver dans le projet final, 223 sont déjà en culture à Saint-Gilles et de nouveaux taxons entrent chaque mois en provenance de fournisseurs internationaux.

Collection Melaleuca : Le genre Melaleuca est un membre de la très grande famille des Myrtaceae, comprenant environ 363 taxons, dont 358 sont endémiques d’Australie. Son habitat s’étend du nord tropical des zones marécageuses en passant par des terres sablonneuses ou graveleuses à l’intérieur des terres arides, jusqu’aux régions côtières humides et froides de la Tasmanie occidentale. Alors que l’Australie abrite la plupart des espèces, quelques espèces tropicales se trouvent en dehors, notamment en Nouvelle-Guinée et en Nouvelle-Calédonie. Nous cultivons actuellement 52 taxons sur 304 que nous pensons pouvoir cultiver.

Collection Podocarpus : Ces conifères sont représentés dans les montagnes tropicales et les parties tempérées de l’hémisphère austral. Cette famille, les Podocarpaceae, est d’origine gondwanienne, avec des fossiles remontant au Trias. En plus des 19 espèces du genre, nous cultivons dans cette famille des représentants des genres Afrocarpus, Dacrycarpus, Prumnopitys, Saxegothaea et Sundacarpus.

Jardin Jean-Marie Delavay aux Gets Haute-Savoie: Collection agrée

Commune des Gets – Mairie BP 24 – 74260 Les Gets, Rhone-Alpes
04.50.74.74.65 – mairie@mairie-les-gets.fr
Le père Jean-Marie Delavay est né en 1834 aux Gets en Haute- Savoie. Il a eu un solide bagage dès son jeune âge ayant participé au recensement des plantes vasculaires de Savoie, réalisé par Eugène Perrier de la Bathie qui le prépara à analyser le terrain, conserver et conditionner les plantes qu’il collecte. Il fera 3 voyages en Chine pour les MEP (Missions étrangères de Paris). S’il a passé les 14 années de son premier voyage à évangéliser, ce sont ses 2 voyages suivants qui feront de lui l’un des botanistes les plus admiré de ses collègues anglais et américains.
En 1881 il gagne la région de Dali au Yunnan et enverra quelque 200 000 échantillons au MNHN (Muséum National d’Histoire Naturelle) de Paris. Adrien Franchet nommera et décrira ces collectes. De nombreuses plantes portent le nom de Delavay : un rhododendron, une pivoine, un schefflera, un géranium, un thalictrum, un philadelphus et bien d’autres encore.

Les collectes sont énormes et tous les jardins, qu’ils soient botaniques ou d’amateurs éclairés, possèdent des plantes vues pour la première fois par Delavay : rhododendron arboreum subsp. delavayi, rhododendron yunnanense, rhododendron scabrifolium, r. racemosum et r. irroratum, corydalis cheilanthifolia et c. flexuosa, nomocharis pardanthina et nomocharis aperta qui poussent à 4000 m d’altitude

Il sera également à l’origine de l’introduction de plantes mythiques et si convoitées comme les si fameux pavots bleus de l’himalaya : meconopsis betonicifolia et aussi meconopsis integrifolia , m. delavayi.
On estime aujourd’hui que l’apport à la flore de Chine de Jean-Marie Delavay s’éléve à plus de 3 000 nouvelles espèces.
Épuisé par ses longues marches en montagne, en proie à l’hostilité des chinois, il s’éteint lors d’un ultime voyage au Yunnan le 31 décembre 1895.
« La municipalité des Gets est fière de l’action menée depuis quelques années déjà par l’association « Jean-Marie Delavay », qui représente un énorme travail de recherche. Elle a énormément œuvré à retracer la vie de notre ancien administré ecclésiastique, féru de botanique. Je souhaite longue vie à notre jeune association, permettant une nouvelle activité culturelle passionnante durant toutes les saisons par la visite de son jardin et des jeux organisés autour de ses découvertes. La communauté Gêtoise est également très fière aujourd’hui de la reconnaissance par le Conservatoire des Collections Végétales Spécialisée, qui nous a attribué le label « Collection agréée » des plantes du Père Jean-Marie Delavay ».

Hémérocalles botaniques & cultivars: Collection agréée

Pascal Bourdillon, Champagne, 41230 Soings en sologne, Centre
02.54.98.71.06. –   contact@bourdillon.com
Il y a 50 ans la famille Bourdillon s’est lancée dans la culture d’hémérocalles, une plante s’adaptant parfaitement au sable et à l’argile de Sologne. Les cultivars étaient achetés aux USA et mis en culture chez nous. Depuis quelques années nous créons nous même nos variétés et avons décidé de planter des hémérocalles botaniques pour rappeler ses origines géographiques, souvent le sud-est de l’Asie. Les hémérocalles botaniques, la plus part jaunes ou oranges, se multiplient plus vite et fleurissent un peu plus que les cultivars.

Betula: Collection agréée

Marie-Reine Fleisch,ENGREF – Arboretum National des Barres – Domaine des Barres 45290
Nogent-sur-vernisson, Centre, 02.38.95.02.70. –   marie-reine.fleisch@agroparistech.fr